Journee internationale des droits des femmes dans les écoles de la république du Congo.

Les violences contre les femmes sont l’une des violations des droits humains les plus répandues dans le monde et pourtant les moins reconnues.

Les violences faites aux femmes ne comprennent pas seulement les insultes ou les coups, elles signifient également des droits dénigrés, des opportunités limitées et des voix réduites au silence .L’impact humain et économique des violences faites aux femmes est considérable.

S’il est vrai que les communautés subissent tout entières les conséquences des conflits armés, les femmes et les petites filles sont particulièrement touchées en raison de leur place dans la société et de leur sexe.

Les femmes sont donc enfermées dans un douloureux paradoxe : alors qu’elles sont les principales victimes civiles des conflits, elles n’ont souvent aucun moyen de les prévenir, sont exclues des négociations visant à régler les conflits et sont cantonnées à un rôle marginal dans le processus de reconstruction et de réconciliation postérieur aux conflits.

L’objectif cette journée était à la fois de sensibiliser sur le cycle de la violence et de savoir montrer que cette violence peut toucher tout le monde, mais aussi de promouvoir la paix, d’accueillir et d’accompagner les victimes de violences.

♀️📢 Les députés de la République du Congo ont approuvé le 2 mars dernier, le projet de loi portant sur la lutte contre les violences faites aux femmes. Cette disposition vise à prévenir et réprimer les violences faites faites aux femmes et aux filles, accompagner les victimes et sanctionner les auteurs de ces actes.

Ce 8 mars 2022, nous avons eu la chance de travailler avec des partenaires engagés, qui partagent les mêmes valeurs que nous ; sans eux, cette journée n’aurait pas eu le même écho c’est pourquoi, nous tenons à leur adresser nos remerciements les plus sincères.

Rejoignez-nous ! Ne vous taisez plus ! Ensemble, contribuons à briser le cycle de la violence.

Les élèves de l’école Joseph Perfection education au Lycée de la Révolution
Aurore OLANDZOBO, Directrice du bureau du Président de l’UNOC
Flora Michelle Kombo KIMBOUALA, Psychologue et Point Focal SGBV(AARREC)
Dorothée LISENGA, coordinatrice du CFLED
Orlove LOUBAKI ( Association des femmes Juristes du Congo)
La voix des Femmes Autochtones du groupe Ndima pour dénoncer les viols
Fanie EMINABONGO GOUMA, Modératrice
Élèves de l’école Joseph Perfection Education
Femmes réfugiées en République du Congo
OBAMBE GAKOSSO 2ème Vice-président de la Fondation Eboko et Fayigga GALOMI Cheffe de Projet
Louisiane MANDZANGA et Larissa ONDZIE, Panéliste lors du tour de table en présence des Femmes Victimes de violences
Rodi, Batte et Lesage

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